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_____(`'·.ž*.LoVe .*,.·'Ž)
25/05/2006 22:02
_____(`'·.ž*.LoVe .*,.·'Ž)
**Ce matin, j'ai ouvert la fenêtre,
**J'ai senti quelque chose d'étrange
**Dans l'air...
**J'ai levé les yeux vers le ciel,
**J'ai vu la pluie tombée,
**Et j'ai compris que quelque chose
**Avait changé.
**Je ne sais pas pourquoi,
**J'ai tout de suite pensé à toi,
**J'ai attrapé le téléphone,
**Composé ton numéro,
**La peur au ventre,
**J'ai attendu que tu décroches,
**Mais tu ne l'as pas fait...
**J'avais un mauvais préssentiment,
**je sentais quelque chose d'étrange,
**Des larmes coulaient le long
**de mes joues,
**Je ne comprennais pas pourquoi,
**je me mettais dans cet état,
**Car il n'y avait rien de concret,
**Juste ce mauvais préssentiment...
**Je t'ai appelé une fois, deux fois,
**trois fois... Tellement de fois,
**Mais tu n'as jamais décroché...
**J'ai fini par appeler ta demi-soeur,
**Je lui ai demandé ce qu'il se passait,
**Pourquoi tu ne décrochais pas,
**Elle a commencé à pleurer,
**J'ai compris que je ne m'étais pas trompé...
**Elle m'a dit que, la nuit dernière,
**Tu avais été renversé,
**Par un chauffard, bourré...
**Elle m'a dis que tu étais tombé dans le coma,
**Et qu'ils ne savaient pas si tu allais te réveiller...
**Je n'avais plus la force de parler,
**J'ai dis que je rappelerais et j'ai raccroché.
**Tout autour de moi s'est écroulé!
**J'ai repensé à tous ces moments,
**Tous ces souvenirs,
**Tous nos délires...
**Tu étais mon rayon de soleil,
**Mon meilleur ami, on avait dit pour la vie...
**Mon amour, on avait dit pour toujours...
**Je suis allée à l'hôpital,
**Jsuis restée deux semaines à ton chevet,
**Je passais mon temps à pleurer, à te regarder,
**A espérer...
**Mais ton coeur a fini par arrêter de battre,
**Les infirmières, les médecins s'agitaient autour de toi,
**Essayant en vain, de te faire revivre...
**Je suis sortie de cette chambre,
**Je marchais sans but dans ce couloir blanc,
**Les larmes brouillaient ma vue,
**Je suis arrivée à cette fenêtre,
**On était au cinquième étage...
**J'ai regardé une dernière fois derrière moi,
**J'ai vu ton corps sans vie sur le lit que poussait l'infirmière,
**Je n'ai pas réfléchi, j'ai ouvert cette fenêtre,
**Et je suis partie...
**Je ne pouvais pas vivre sans toi :
**Tu étais mon rayon de soleil,
**Mon meilleur ami, on avait dit pour la vie...
**Mon amour, on avait dit pour toujours...
_____(`'·.ž*.LoVe .*,.·'Ž)
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les cicatrice du mal
25/05/2006 21:55
s cicatric£s du mal ..
Au début c'était juste pour rigoler
Quelques cicatrices qui allait partir
Ne voyant pas le drame ariver
Je continuai a évacuer ma peine
1 lame,1 rasoir
Cela me sufisai pour me faire saigner
Au début c'était trés léger
Cela me faisais un bien fou
Puis cela c'est agraver
Pour évacuer tte ma peine
Je devait y aller + fort
Toucher davantage a la mort
j'étais seule dans ma baignoire
j'ai pris un rasoir
Avec bcp de courage je me suis lancer
Poussée par la peine je lai fais
Le sang couler a flot
Ma veine devait etre toucher
Ma peine était partie
Cela me fai un bien fou
Je commence a y voir trouble
Ca y est j'y suis arriver
j'ai enfin pris fin
quelques larmes tombent
Sur une marre de sang
Me voila allonger
Mon sang continuai a couler
Je m'endors pour ne plus jamais me réveiller
Juste un mot a dire
A DIEU
Il y aura peu de pleure
Ne l'oublier pas c'était pour mon bien
Car je ne pouvais plus supporter cette vie
A DIEU
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+++++++maman++++++++++
25/05/2006 16:17
__• • • • • -:Š:- Dis Moi -:Š:- • • • • •
_() ()
_( '.' ) Dis Moi pourquoi T'es Triste..
(")_(")
___() ()
___( '.' ) Ne M'abandonne Pas Maman..
__(")_(")
_-___() ()
__-__( '.' ) Je T'aime Tellement..
___-(")_(")
-Dis maman pourquoi tu pleures ?
-Parce que j'ai mal au coeur ma puce c'est pas grave
-Pourquoi t'as mal au coeur ?
-Parce je suis amoureuse
-Mais quand on est amoureuse, on est heureuse non ?
-Oui ma puce, mais seulement quand c'est réciproque..
-Et pourquoi c'est pas réciproque maman ?
-Parce le monsieur dont je suis amoureuse et bien il est déjà amoureux
-De toi ?
-Non de quelqu'un d'autre
-Elle t'a piqué ton amoureux elle est méchante cette dame !
-Non elle n'est pas méchante elle le connaissait avant c'est tout
-Mais pourquoi ?
-S'il te plais ma puce je suis fatiguée je vais dormir, tu me laisses d'accord ?
-Non je veux rester avec toi, je veux pas que tu pleures, je veux trouver une solution avec toi pour que ce monsieur il soit amoureux de toi !
-Je t'aime ma puce tu sais
-Je sais maman moi aussi
-Il faut que tu partes s'il te plais ma puce, je vais dormir, pour toujours, ne m'en veut pas mais n'oublies pas que je t'aime de tout mon coeur
-Mais maman pourquoi ?
-Va-t'en s'il te plais ne regarde pas
-Maman explique-moi pourquoi !
-Maman ?
-Maman réponds... qu'est ce qu'il se passe ?
-Maman pourquoi tu saignes ?
-Maman réponds
-Maman pourquoi tu respires plus ?
-Maman ...me laisses pas...
-Il est amoureux de toi je suis sur, c'est juste un secret maman reviens...!
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+++++++++++++++++++++++++++
25/05/2006 16:16
Si ton coeur s’empli de doutes,
Si tu ne sais plus quelle est ta route.
Si tu te sens seul au monde
Que tu trouves ta vie immonde
Penses a moi,
Je ne t’oublierai pas.
Si la vie te malmène
Si tu as de la peine
Si tu ne trouves plus ton chemin
Que tu as peur du lendemain
Penses a moi,
Je ne t’oublierai pas.
Ne t’enfermes dans ta solitude,
Ne refuses pas la main que je te tends.
Je connais bien cette habitude
Et je ne veux pas que tu la vives un seul instant.
Penses a moi,
Je ne t’oublierai pas.
Apprends à me faire confiance,
Je serai là, malgré la distance.
Une amie c’est fait pour ça.
Tu pourras toujours compter sur moi
Penses a moi,
Je ne t’oublierai pas.
Penses à moi comme je pense à toi
Et tu verras à deux on y arrivera.
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lovely
25/05/2006 16:12
DELIT DE POESIE
Poète !
Idéaliste, irréaliste… Poète !!! Ce n’est pas un titre, ni une parure, ni une décoration, pas plus qu’un caprice, un beau vêtement… Non ! Poète c’est être nu alors même que les autres ont froid !
Poète c’est faire jouir ou faire horreur, poète c’est ce sang qui coule dans vos veines et que vous n’entendez pas !
Poète, c’est ce ridicule moineau qui se démène pour vous prévenir de vos folies froides et assassines, qui n’a de cesse de frapper de son bec fragile à la porte de vos cœurs, de ces forteresses que vous avez érigées pour vous protéger d’un ennemi mortel qui n’est autre que vous même !
Je suis comme vous mais je suis poète, cette race maudite, comme je l’aime !
Septembre 2000
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